Entre granit et schiste, l’architecture des bâtiments anciens préservés est souvent remarquable : bâtisses anciennes parfois monumentales, belles cheminées, fours à pain et clèdes, porches, cours dallées, calades, aires à battre, murets, escaliers…
Les hameaux sont entourés de forêts de pins, de châtaigniers et de chênes.
La commune se prête par ses paysages, ses rivières et la qualité préservée de la nature, au tourisme vert, aux randonnées, à la baignade, à la chasse et à la pêche. Les terrasses encore présentes dans les vallées témoignent de l’activité agricole vivrière passée : culture de la châtaigne, du vers à soie, fruitiers, maraichage.
Les ponts des chemins, les routes, les viaducs de chemin de fer, les magnaneries, les kilomètres de murs sculptant la montagne en bancels façonnent ces paysages cévenols.
Jean Pellet, médecin, humaniste, passionné de géologie et d’histoire a, en son temps, admirablement décrit ce territoire, à la fois terre de repli et terre d’accueil (voir centre de documentation du Parc National des Cévennes, Génolhac, Pauline Roux).
