Concert Eglise de Ponteils – samedi 11 novembre à 20h30

La commission culture de la municipalité de Ponteils a le plaisir de vous annoncer le prochain concert qui aura lieu le 11 novembre à 20 h 30 dans l’église.
Vous trouverez l’affiche ci-dessous:
Affiche Napulitanata

L’Italie sera à l’honneur avec le groupe “Stacca Napoli” et « Naples, entre méditerranée et orient » . Les artistes redonnent souffle à la musique populaire napolitaine et proposent un répertoire riche, vivant puissant et coloré.
Canzone del pescatore, canzone appassiunatta, Vezuvio e tarentella…
David Grasselli : voix et guitare
Fabio Gallucci : mandoline
Gianluca Malpeso : guitare battente
Marion Picot : violoncelle
Luc Detraz : percussions
Venez nombreux!!!

L’équipe municipale

Visite du Musée “Matériel de la vie d’avant” à Villefort le vendredi 03-11-2023

Bonjour,
l’équipe du GAP de Ponteils a le plaisir de vous proposer la visite du Musée ” Matériel de la vie d’avant” à Villefort le vendredi 03 novembre 2023 à 14h00.
Vous trouverez, ci-dessous, les éléments concernant cette visite.
03-11-2023 Visite du musée matériel de la vie d’avant à Villefort
Nombre de places limitées à 40 personnes.
Inscrivez vous au plus vite!!!

L’équipe du GAP

Ponteils en fête – mardi 15 août

Bonjour à toutes et tous,
La fête traditionnelle du 15 août à Ponteils approche à grands pas.
Vous trouverez, ci-dessous, le programme de cette journée festive.
FETE
On vous y attend, venez nombreux.

L’équipe du GAP

Soirée cinéma plein air – vendredi 11 août à 22h00

La commission culture de la Mairie de Ponteils et Brésis vous propose,
le vendredi 11 août 2023 à 22h00, une soirée cinéma en plein air suivie d’un débat.
“Un café allongé à dormir debout” est un documentaire réalisé par Philippe De Jonckheere (résident sur la commune).
Affiche – un_cafe_allonge_a_dormir_debout_ponteils

“À l’hiver 2019, pour surmonter ma douleur paternelle, j’ai filmé l’hospitalisation contrainte de mon fils Nathan, au seuil de son incertaine entrée dans l’âge adulte. Dès les premières visites, et surtout à cause de leur caractère parfois hostile ou tout bonnement vide, j’ai pris le parti de filmer de petites séquences de trente secondes, parfois plus, parfois une minute, à l’aide de mon téléphone de poche. À la fois, je me désennuyais — quand Nathan dormait — et à la fois je me donnais une contenance — quand l’hostilité de ce dernier me poursuivait dans les couloirs ou, au contraire, me fuyait. Je ne filmais pas nécessairement Nathan, d’ailleurs, mais beaucoup son environnement. Et plus je regardais, plus je voyais s’inventer un monde.” (Philippe De Jonckheere)