Spectacles de Théâtre : Les lettres de mon moulin , et Les étoiles 17 et 18 juin 21h30

La commune de Ponteils propose deux spectacles de théâtre les 17 et 18 juin à 21 h 30 issus des Lettres de Mon Moulin,  conçus, mis en scène et joués par l’acteur Philippe CAUBERE.

RESERVATIONS : 06 47 35 75 35

tarifs : adultes 15 €, moins de 18 ans 5 €, moins de 12 ans gratuit

Alphonse Daudet. L’auteur des Lettres de mon moulin naît le 13 mai 1840 à Nîmes. Issu d’un milieu bourgeois, Alphonse voit sa famille s’enfoncer dans la ruine, au fil des spéculations hasardeuses de son père. Cela pousse la famille à s’exiler à Lyon, où le « Petit Chose » fait des études, qu’il ne peut pousser jusqu’au baccalauréat. Pour vivre, il devient répétiteur au collège d’Alès, comme on appelait alors les « pions », avant de rejoindre à Paris son frère Ernest, journaliste en vue (1857). Il fréquente le meilleur milieu littéraire et politique, de Gambetta ou Vallès, à gauche, jusqu’à Barbey d’Aurevilly et Rochefort, le polémiste le plus redouté de son temps.
Alphonse publie en 1858 un recueil de poèmes intitulé les Amoureuses, au succès très mitigé. Le départ de son frère l’oblige à s’engager dans un métier rémunéré : il est embauché comme chroniqueur au Figaro.
Il trouve le temps de rédiger – sans grand succès – quatre pièces de théâtre et, enfin, le Petit Chose, portrait doux-amer de son enfance, qui paraît en feuilletons à partir de 1867. De 1866 à 1869, il rédige et publie les chroniques qui, en 1869, forment les Lettres de mon moulin. C’est un succès colossal. Daudet est définitivement lancé.
L’ensemble du recueil offre aux Parisiens déjà saturés de toutes les malédictions urbaines le dépaysement qu’ils appelaient de leurs vœux. Tout le Sud défile sous leurs yeux par la grâce d’un conteur de première force.
Pourtant, les Lettres de mon moulin, sont loin d’être un pur répertoire des beautés du soleil. Un fond de mélancolie habite plusieurs récits. Au côté du Daudet poète, il y a un Daudet réaliste, et même naturaliste, dans la droite ligne des écrivains de son temps, Zola ou les Goncourt. Daudet oscille ainsi de la franche gaieté à l’ironie cinglante et même à la mélancolie la plus morbide.Il meurt en 1897 des complications d’une syphilis contractée dans sa jeunesse et qui l’aura fait souffrir toute sa vie.

Philippe Caubère le 22 juillet 2020
1er spectacle, partie 1 des Lettres de Mon Moulin
Attention ! Ceci n’est PAS une lecture… ! Je sais ce qu’est une « lecture jouée » pour avoir souvent sacrifié à l’exercice. Tous mes spectacles bâtis sur des textes qui n’étaient pas de moi : Aragon, Montcouquiol,  Benedetto, Suarès ou Pagnol, sont tous passés par cette étape. Et puis Alain Cuny avec Claudel, Fabrice Luchini avec Céline, Jouvet et d’autres, plus près de moi Michel Galabru avec les lettres de Raimu, ont donné et donnent à ce genre ses titres de noblesse. Mais je vous le dis franchement, quelque valables que soient ces exceptions, la lecture, jouée ou non, reste pour moi le degré zéro du théâtre. Apprendre le texte m’en paraît être le degré un, le mettre en scène le degré deux, et le jouer, — sauf qu’attention : le BIEN jouer ! — le degré trois. Mais ça… c’est une autre affaire ! Au sujet de laquelle on ne peut, hélas, faire aucune promesse, ni donner de garantie. Juste en émettre l’espoir. Et s’y employer avec le plus de force, de patience et d’acharnement possibles. Ceci n’a rien à voir, je le précise, avec un choix qui serait moral ou professionnel. Non : c’est un choix artistique. Apprendre le texte, « par cœur » comme on dit, c’est choisir de le pénétrer plutôt que de le survoler, l’explorer plutôt que de se contenter de le visiter ou de « se laisser traverser » par lui, comme le veut une certaine mode. C’est s’en imprégner enfin, en jouir, en souffrir, bref se l’approprier. Pour avoir une chance, une seule petite, de pouvoir un jour l’incarner comme si on l’avait écrit. Jouer les Lettres de mon moulin comme si c’était moi qui les avais pensées, imaginées. Comme si je m’en étais souvenu. Comme si je les avais vécues.
Je ne vais pas essayer de me lancer dans de grandes théories littéraires ou théâtrales, — encore moins politiques…— pour m’expliquer ou me justifier sur le choix de monter et jouer Alphonse Daudet plutôt tel auteur ou que telle autre, puisqu’en définitive, la seule chose qui m’ait vraiment motivé, c’est l’envie de m’amuser et d’amuser les autres, petits et grands. Et si possible, de les toucher. À part une autre, plus particulière et personnelle : après l’Adieu à Ferdinand, je savais qu’un vide se ferait sentir et qu’il me faudrait quelque chose de fort pour ne pas y sombrer. Une chose qui me ramène à l’enfance, la mienne comme celle de tout le monde. L’enfance de l’art aussi. Voilà, juste ça : des histoires, des paysages, des personnages, des accents. Et un pays. Le mien : la Provence.
Spectacle conçu, mis en scène et joué  par Philippe Caubère 

 (1h35). Installation, La diligence de Beaucaire, Le secret de Maître Cornille  La chèvre de Monsieur Seguin, L’Arlésienne, La légende de l’homme à la cervelle d’or,   Le curé de Cucugnan, Le poète Mistral.

2ème spectacle : Les Étoiles
Spectacle issu des Lettres de mon moulin d’Alphonse Daudet,choisies, présentées, mises-en-scène et jouéespar Philippe Caubère.

On va se dire : « Encore Daudet ? ». Oui : encore. J’ajouterais bien : « jamais assez », mais ce ne serait pas vrai puisque c’est là sans doute que s’arrêtera ma collaboration (si j’ose dire) avec cet immense écrivain et cette œuvre unique au monde. On peut tomber amoureux d’un auteur mort et de son œuvre — qui en est un peu le corps vivant — comme d’une femme. Or l’amour ne compte pas. On en a jamais assez. On en veut toujours plus. Même si, à moment donné, il faut savoir se calmer, sans quoi les choses pourraient mal tourner… On sait maintenant, grâce à Rita Mitsouko et à la grande voix de Catherine Ringer, que « les histoires d’amour finissent toujours mal ! » On en restera donc là…
Cet épisode sera composés de Lettres peut-être moins connues, comme les histoires corses ou celle de l’humoriste Bixiou, mais d’autres très connues au contraire comme celles des Vieux ou des Étoiles — qui donne son titre à la soirée. Plus romantique, — l’amour en sera le sujet principal — plus romanesque aussi que les deux précédents, cet épisode nous sortira du fameux « moulin » originel pour un fabuleux voyage, du golfe d’Ajaccio et du détroit de Bonifacio aux rives sauvages des iles Lavezzi, et de « la petite ville » d’Arles et du quai du Pont de Giraud aux contreforts du Luberon ; en passant par Eyguières et… par Paris.
Les grandioses polyphonies corses, les blues âpres de Johnny Cash et de Howlin’Wolf, comme la guitare de Gérard Cousin égrenant avec délicatesse les mesures de Philip Glass nous y accompagneront.
 Liste des titres : Le Phare des Sanguinaires, L’Agonie de « La Sémillante », Les Vieux, Le portefeuille de Bixiou, En Camargue (Le Départ, La cabane, Le Vaccarès) et  Les Étoiles.

Durée du spectacle : 1h35 environ.

Extraits de presse des lettres de mon moulin :

EXTRAITS PRESSE LETTRES DE MON MOULIN
Philippe Caubère

 MARIANNE
Philippe Caubère emmène en tournée des « Lettres de mon moulin » auxquelles il donne une incarnation charnelle jubilatoire.

LE FIGARO MAGAZINE
Que le peuple soit debout à la fin du spectacle pour l’applaudir est le signe d’une curiosité littéraire qui nous réjouit.

LA PROVENCE
En mode Marx Brothers et Buster Keaton, Philippe Caubère nous réserve une leçon de théâtre à nulle autre pareille…

L’EPATANT
Il faut courir voir ces lettres. Et y emmener vos parents, enfants, élèves et amis. Il faut rêver, partir loin, au pays des cigales, du mistral et de Frédéric Mistral

LE PELERIN
Ce spectacle évoque le voyage éternel entre Paris et la province…aux accents chantant, vestiges de notre magnifique langue d’oc.

LE PARISIEN
Ces lettres s’avèrent bien plus riches et fécondes, graves, violents et drôles. La Provence et des histoires peuplées d’une galerie de personnages.

LE FIGARO
L’acteur conteur se plait à jouer ces textes burlesques ou graves qui mettent en scène la comédie humaine sous le soleil.

CORSE-MATIN
Acteur-auteur, auteur-créateur, il dessine les hommes, rappelle leurs mémoires, écrit la musique se ces histoires qu’il joue.

LE CANARD ENCHAINE
Il suffit que dans « Les Trois Messes Basses » il nous fasse le curé, et les paroissiens, le clerc Garrigou, la vieille douairière pour que tout ressurgisse…l’esprit d’enfance, l’émerveillement.

CAUSEUR
Daudet poussiéreux ? Non, puisqu’il vit devant nous, sautille, s’agite, chuchote, hurle, rit et souffre, nous tire les larmes des yeux.

 L’HUMANITÉ
… La chèvre de M. Seguin . Elle devient par la magie des mots prononcés, un régal philosophique

LE PROGRES
Extraordinaire Philippe Caubère ! La salle était plongée dans l’hilarité la plus totale, chacun étouffant de rire sous son masque.

L’OFFICIEL DES SPECTACLES
« Provence mon amour » – Il s’en donne à coeur joie en interprétant « avé l’assent » des personnages hauts en couleur…

CORSE-MATIN
Acteur-auteur, auteur-créateur, il dessine les hommes, rappelle leurs mémoires, écrit la musique se ces histoires qu’il joue.

Les plantes de chez nous : animation de l’atlas de la biodiversité pour les enfants à la bibliothèque

Le printemps est là, et la chaleur. Une douce odeur d’acacia et de narcisse flotte dans l’air. Les  bénévoles de la bibliothèque  La Grange aux Livres, à Ponteils,  coiffées de couronnes fleuries, ont  accueilli une dizaine d’enfants  de 2 à 10 ans, l’après midi pour les éveiller à la connaissance des plantes. Les voilà tous partis dans le chemin voisin, à la recherche de 8 plantes avec photos à l’appui dans une pochette distribuée à chacun. Il faut retrouver la pimprenelle, bonne en salade, mais aussi pour les troubles intestinaux, le bouillon blanc efficace contre la toux, la bronchite, les irritations de la peau et diurétique…le plantin lancéolé, la vesce, l’achilée millefeuilles, le lilas d’Espagne, le trèfle violet et le liseron. Sous chaque photo figurent  les vertus de chacune d’entre elles. Certains  parents venus accompagner les enfants, papotent sur le seuil de la bibliothèque, d’autres font les recherches avec les plus jeunes. Puis chacun, avec l’aide des hôtes en habits de printemps, teeshirts fleuris ou colorés, confectionne son herbier avec les plantes collectées et les photos. L’après midi se poursuit avec la dégustation d’eau aromatisée à la menthe ou à la mélisse et de jus de pommes local.  Puis les enfants testent  des jeux de société sur la nature, mais aussi des jeux d’adresse empruntés à la Médiathèque Départementale de Lozère, et disponibles  pour le prêt. Dans la salle communale un grand jeu de l’oie dessiné à la craie est prétexte au test et permet de sensibiliser les deux équipes à chacun des jeux de la MDL. Tout ça fonctionne à merveille. Les animatrices associent avec bienveillance  et énergie la joyeuse bande d’enfants sous l’œil attentif des parents. Cadeaux et gouter  sont offerts à tous. Tout a été minutieusement préparé et avec le plus grand soin. Le plus petit se régale du gout exquis des beignets d’acacia qu’il enfourne avec appétit avant de repartir avec ses parents.

Sur les traces des animaux, animation de l’atlas de la biodiversité

Sur les traces des animaux. Compte rendu réalisé par le guide, Manuel Jacquet
             “Quel animal habite cette foret ?” demande le guide, en introduction de sa sortie samedi 7 mai dernier, pas loin du hameau de Bassouls. Chaqun des participants évoque ses hypothèses auprès de Manuel Jacquet, accompagnateur en montagne. Sanglier, chevreuil, chouette, genette, fouine, ecureuil, hérisson, il y a des idées !
            Après quelques échanges autour de la vie forestière, le groupe de 10 personnes s’enfonce dans les bois afin d’aller chercher des traces et des indices que laissent les animaux derrière eux. Les enfants présents trouvent vite une crotte en plein milieu du chemin, c’est un renard qui est passé par là. On croise des boutis (terre retournée par les sangliers), des frottis de chevreuil, puis une souille de sanglier. Manuel récupère un piège photo installé là, il explique : “les animaux sont nombreux à venir boire dans ce secteur, c’est pourquoi j’ai posé un piège photographique qui se déclenche au moindre mouvement”.
            La balade continue en hors-sentier dans les sous bois, on trouve d’autres crottes (probablement de fouine), des pelottes de rejections de chouettes hulotte, des restes de noix mangés par un écureuil, on récupère un autre piège photographique posé sur un sentier puis on va voir une source remplie de bébés salamandre.
            La sortie se finit par le visionnage des vidéos prises par les pièges photos et les surprises sont nombreuses : une chouette, des renards magnifiques, des sangliers qui se frottent contre un arbre, un écureuil, des chevreuils… En définitive, une belle balade !

Ateliers numériques

Bonjour,
Dans le but de préparer des ateliers numériques en groupe sur des thématiques variées, nous organisons 4 réunions d’information collective sur différents bassins de vie de la Communauté de Communes :
– Mont-Lozère et Goulet : le Mardi 19 avril 2022 de 18h00 à 19h30
– Saint-Etienne du Valdonnez : le Jeudi 21 avril 2022 de 18h00 à 19h30
– Montbel : le Mardi 3 mai 2022 de 18h00 à 19h30
– Villefort : le Jeudi 5 mai 2022 de 18h00 à 19h30

Les ateliers en groupe pourront se dérouler dans d’autres communes en fonction de la demande des habitants.

 

Prochaines animations du GAP

Le GAP a le plaisir de vous donner quelques précisions sur les prochaines animations:
 Mercredi 13 avril 2022 à 15h00 : atelier peinture
 * Préparation de Mr et Mme Carnaval

atelier Carnaval

 Samedi 23 Avril 2022 à 15h00 – sur la place du Village de Ponteils: Carnaval
* Chasse aux oeufs
* Jeux
* Animations musicales avec Cabré Can
* Goûter offert aux enfants
Venez déguisés (ou non) !

Carnaval

– Samedi 28 mai 2022 – salle de Ponteils, à partir de 19h00 : Soirée Cabaret

  • repas servi par le restaurant “L’Arbre à Pain”
  • spectacle “Les talons résille”
  • Dîner spectacle = 30 € par personnes
  • Réservation avant 15 mai

Cabaret

Bons et mauvais animaux sauvages, une conférence de Marie Lucy Dumas au Centre Hospitalier avec l’Association jours de fêtes

L’hôpital de Ponteils, Lili Masson et  l’association Jours de fêtes et Marie Lucy Dumas, historienne, spécialiste du moyen âge avaient organisé le 29 mars une conférence dans le cadre de la programmation de l’atlas de la biodiversité intercommunale. 14 résidents et 12 habitants de Ponteils et des communes voisines ont participé. L’historienne se réfère au 1 er livre de chasse,  de Gaston Phoebus, Conte de Foy. Si aujourd’hui on s’appuie sur la science et qu’on ne croit que ce qu’on voit, au Moyen Age, la représentation des animaux associe animaux fabuleux comme par exemple  la licorne, le phœnix, et animaux réels et les fait coexister. Cette conception animale  combinée entre fiction et réalité se retrouve dans les églises romanes locales comme au Chambonas ou à Malons.  Par ailleurs certains animaux dans l’art roman sur le frontispice des églises symbolisent le démon et invitent les fidèles à prendre garde au mal (comme l’amphisbène, serpent à deux têtes qui conduit une horde de serpents). D’autres encore  représentent le bien et  des Saints de l’évangile  et racontent des épisodes de la vie de Jésus  avec pédagogie : Saint Marc par exemple est représenté par un lion. D’autres encore représentent les péchés capitaux : la taupe, l’avarice, le porc la gourmandise… Le singe caricature l’homme. Les animaux sont aussi présents sur les blasons. Le plus ancien et le plus important est l’ours  concernant la famille Altier de Borne. Il y a  des légendes de dames séduites par des ours, des prénoms avec la racine Ber signifiant ours comme Berthe, Robert, Bernard , des lieux y faisant référence comme le mas d’Orcière… Puis l’ours sera détrôné par le lion que l’on retrouve sur le blason des Seigneurs de la Garde. Le troisième animal sur les blasons est le cerf, puis vient l’aigle et le griffon (tarasque) à qui ont attribue des effets magiques. Les animaux permettent aussi de se moquer des hommes comme avec le lièvre ou l’escargot.

Le droit d’alusatge veut que le seigneur d’Altier exigeât les pattes de l’ours considéré comme le met le plus raffiné. L’évêque exigeait quant à lui les quartiers de cerf et les têtes de sangliers.

La chasse dont G P de Foy disait qu’elle « prépare à la guerre, assure une meilleure santé, permet de communier avec la nature et ouvre les portes du paradis » est interdite au quatorzième siècle jusqu’à la révolution française.

 Le loup ne devient un animal mauvais qu’à partir du seizième siècle. Les prédateurs comme l’ours, le loup, le renard, le sanglier et le lynx sont chassés et supprimés. Aujourd’hui il n’y a plus de forêts sauvages. L’ours et le loup ont été persécutés et chassés et même l’écureuil.

Pour les paysans les bêtes malfaisantes sont l’épervier Marie Lucy nous  livre les mots en occitan,  (lo moisset), le corbeau (lo cropatas), le renard et le loup.

Marie Lucy nous raconte qu’à  Besses où elle habite, on voit sur la poubelle un papier « j’ai perdu une de mes chaussures ». C’est le renard qui dans un trou avait amassé une collection de chaussures et en machouillait le cuir.  C’est là que Madelon a retrouvé sa chaussure perdue !

Au Palais des papes à Avignon, il y a des peintures qui présentent le plaisir pour des gens aisés de se divertir avec des animaux dans la nature. Ce n’est plus du tout la même vision.

Marie Lucy observe qu’il y a eu petit à petit un regard de consommation sur les animaux et la nature, une certaine conception aristocratique, dont on ne peut plus se départir aujourd’hui dit elle après nous avoir fait part de ses sources bibliographiques et de ses travaux de recherche en lien avec les chercheurs Cévenols.